Le lundi 24 avril 2017, Mme Angela Merkel, chancelière de la République fédérale allemande et ancien membre des Jeunesses communistes au temps de la République démocratique allemande, recevra le prix Elie Wiesel qui lui sera décerné par l’Holocaust Memorial Museum de Washington (voyez USA: le musée de l’Holocauste va remettre le prix Elie Wiesel à Angela Merkel, i24NEWS, 23 mars 2017).
E. Wiesel nous est souvent présenté
comme le témoin par excellence de l’extermination des juifs à Auschwitz,
capitale de « l’Holocauste » ou « Shoah ». En général, on
se garde de nous préciser que, pour l’auteur de La Nuit, cette
extermination s’était faite par LE FEU
dans des brasiers à ciel ouvert et non par LE
GAZ dans des « chambres à gaz ». En 1994, Elie Wiesel, ne
supportant plus d’entendre parler d’extermination par LE GAZ, ira jusqu’à écrire dans ses mémoires : « Les
chambres à gaz, il vaut mieux qu’elles restent fermées au regard indiscret. Et
à l’imagination » (Tous les fleuves vont à la mer … , Editions du Seuil, 1994, p. 93). Il
n’était donc pour lui pas question de représenter l’arme du crime des crimes,
ni même de l’imaginer. C’est ce que, la même année 1994, décidaient les
responsables de l’Holocaust Memorial Museum de Washington et, en particulier,
le rabbin Michael Berenbaum me déclarant dans son bureau devant quatre témoins,
le 30 août 1994 : « Nous avons pris la décision de ne donner aucune
représentation physique des chambres à gaz nazies » et refusant d’en dire
plus sur une telle décision (voy. ci-dessous, dans la note 2, le passage de mon
« Mémoire en défense … » commençant par : « Le 22 avril
1993 se produit en fanfare à Washington l’ouverture de l’Holocaust Memorial
Museum … »).
Les Soviétiques s’empareront d’Auschwitz
le 27 janvier 1945. Curieusement, pendant six jours, la Pravda restera
muette sur la manière dont les « fascistes allemands » avaient
procédé pour exterminer les détenus. C’est seulement dans sa livraison du 2
février qu’elle révélera que l’extermination s’était faite par L’ELECTRICITE ; les victimes, tombant
mortes sur un tapis roulant, étaient transportées jusqu’à la cime d’un
haut-fourneau, d’où elles étaient déversées pour être réduites en cendres
(voyez Auschwitz
: les faits et la légende, 11 janvier 1995). Du n’importe quoi,
comme si souvent dans les inventions holocaustiques !
Quant à l’Holocaust Memorial Museum de
Washington, il est devenu, à coups de mensonges et de bobards en tous genre, un
haut lieu de la Religion, du Commerce et de l’Industrie de la prétendue
extermination des juifs[2]. D’une
manière générale, les sommes d’argent collectées au titre des « indemnisations »
ou des « réparations » après la Seconde Guerre mondiale par diverses
organisations juives ou par différentes autorités juives comme Nahum Goldmann
sont colossales. Il serait intéressant d’en rechercher et d’en publier l’exact
montant ; pour s’en faire une idée, on peut se reporter à mon bref article
du 23 mai 1978 sur Les
retombées politico-financières du « génocide » des juifs ;
s’y trouve reproduit un extrait, passablement instructif, d’un entretien avec ledit Goldmann.
En attendant, la cérémonie du 24 avril
prochain illustrera, à tout le moins, la rencontre en une seule journée de
toute une faune de marchands d’illusions qui se sont efforcés de tuer jusqu’à
l’âme allemande au moyen d’une gigantesque calomnie devenue intouchable, sacro-sainte
; les mêmes, par le chantage, ont ensuite extorqué
aux peuples allemand et autrichien, ainsi qu’à d’autres peuples encore, de fabuleuses
sommes d’argent ou des « dons » d’une valeur considérable comme, par
exemple, la livraison gratuite par le contribuable allemand à l’Etat d’Israël
de plusieurs sous-marins particulièrement coûteux, tout préparés à recevoir un
équipement nucléaire.
En lieu et place de commémorations et
de cérémonies, j’attends toujours « une preuve, une seule preuve de
l’existence et du fonctionnement d’une seule chambre à gaz nazie » ou
encore une réponse au défi que je répète inlassablement : « Montrez-moi
ou dessinez-moi une chambre à gaz nazie ! » On me répond par des
coups et blessures, des outrages et des procès et même par une loi spéciale,
dite « loi Gayssot » ou « loi Fabius-Gayssot » ou encore
« loi Faurisson ». Cette loi présente la particularité d’avoir été
publiée au Journal officiel de la République française du 14 juillet 1990.
Pour le commun des Français la date du 14 juillet a pris une valeur
emblématique. C’est ce jour-là qu’aurait pris fin une tyrannie et que se serait
enfin ouverte une ère propice à la liberté d’opinion et à la liberté
d’expression. D’où, en conséquence, le « juste » châtiment des chercheurs
et des historiens qui, pour leur malheur, font des découvertes qu’ils
n’auraient pas dû faire.
PS : L’ironie veut que,
ce même 24 avril, un Allemand, auquel le révisionnisme historique doit tant,
fêtera son 78e anniversaire : l’admirable Ernst Zündel.
25 mars 2017
[1] Voyez Un grand faux témoin : Élie Wiesel, 17 octobre 1986, et Un grand faux témoin : Élie Wiesel (suite), 29 juin 1993.
[2] Voyez Une date dans l’histoire du révisionnisme : le 22 avril 1993, 2 mai 1993, ainsi que Mémoire en défense contre ceux qui persistent à m’accuser de
falsifier l’Histoire alors que les tribunaux refusent depuis toujours de
confirmer cette accusation et que les historiens hostiles au révisionnisme
multiplient les concessions à mon égard + Note du 7 octobre 2016, 26 septembre 2016. Dans ce dernier article, je rappelle
que la version allemande de La Nuit, Die Nacht zu begraben, Elisha,
est entachée d’une grave falsification répétée à quinze reprises. En quinze
endroits du livre le traducteur a, en effet, mis du gaz là où l’auteur n’en
avait pas mis. Il se peut donc que, pour sa part, la chancelière allemande
n’ait lu qu’une version gravement falsifiée du « témoignage » d’Elie
Wiesel et qu’elle s’imagine, encore aujourd’hui, que ce dernier a véritablement
été « un témoin des gazages de
juifs à Auschwitz ».